Le SARS-CoV-2 augmente nettement le risque de développer un AVC. Pourtant, les données épidémiologiques montrent une diminution du nombre d’hospitalisations pour AVC au niveau mondial depuis le début de la pandémie. De la réticence à consulter les urgences surchargées par l’afflux de patients Covid-19 à l'augmentation du stress, le Pr Patrik Michel propose un tour d'horizon de ces apparentes contradictions.
Pour en savoir plus, consultez le numéro 736 de la Revue Médicale Suisse.
Pr Patrik Michel, Médecin chef - Centre Cérébrovasculaire du CHUVC'est effectivement l'un des paradoxes de cette pandémie. Est-ce qu'il y a une réduction des AVC ou est-ce qu'il y a simplement une réduction des gens qui viennent voir les médecins pour un AVC, ça c'est la grande question.