Allergologie : ce qui a changé en 2024
Ces dernières années, des études se sont concentrées sur le diagnostic in vitro des réactions immédiates aux médicaments, avec de nouvelles recommandations concernant l’utilisation du test d’activation des basophiles. La pollution atmosphérique, notamment les particules fines d’un diamètre inférieur ou égal à 2,5 m (PM2,5) et inférieur ou égal à 10 m (PM10), contribue à une augmentation des consultations aux urgences et des hospitalisations pour exacerbations d’asthme. Les tests cutanés et les dosages d’immunoglobulines E spécifiques présentent une sensibilité et une spécificité très variables selon le type d’aliment. Enfin, de nouvelles collaborations entre allergologues et oncologues ont donné lieu à des prises de position communes, mettant en lumière l’effet protecteur possible de l’atopie sur le développement des gliomes.