L’interprofessionnalité face à la pandémie
Les situations de crise comme booster des pratiques de collaboration interprofessionnelle dans les soins de première ligne.
Les situations de crise comme booster des pratiques de collaboration interprofessionnelle dans les soins de première ligne.
Après l’annonce des premiers cas de Covid-19 en Suisse fin février 2020, le Conseil fédéral a d’abord décidé d’interdire les manifestations de plus de 1000 personnes dans tout le territoire. Quelques semaines plus tard, la Suisse est formellement placée en « état d’urgence », selon la loi sur les épidémies, et ceci de façon concomitante avec d’autres pays européens
En hiver 2021, alors que les prémisses d’une possible sortie de la crise Covid-19 apparaissaient, plusieurs d’entre nous ont fait le même constat : la médecine de première ligne a certes joué un rôle important dans la gestion de la pandémie, mais son potentiel a été insuffisamment exploité
Face à la fréquence des cancers, la prévention repose sur la connaissance des étiologies. Des experts estiment la part des cancers attribuables au travail autour de 5 %. Si l’on démontre qu’une exposition au travail est en cause, le patient peut prétendre à une indemnisation en maladie professionnelle. Pour que l’origine professionnelle puisse être identifiée, il est important de savoir quels métiers/secteurs d’activité sont possiblement à risque. L’objectif de cet article est de présenter les 6 principaux sites de cancers pour lesquels un lien avec des expositions professionnelles est documenté, de préciser les causes de la sous-déclaration des cancers professionnels, le rôle du médecin traitant travaillant en réseau pluridisciplinaire, ainsi que les outils et les conseils pratiques pour optimiser l’accompagnement des patients/leurs proches.
Une récente enquête menée en Suisse romande a montré qu’environ la moitié seulement des médecins de premier recours (MPR) romands avaient un médecin traitant. De plus, 37 % des MPR ont déclaré avoir renoncé à consulter un médecin pour un problème de santé durant l’année écoulée. Enfin, ils étaient aussi 29 % à avoir choisi de continuer à travailler tout en étant malades. La littérature évoque divers facteurs pouvant expliquer ou du moins contribuer à ces comportements, qu’il s’agisse de facteurs systémiques (principalement la charge de travail) ou individuels (déni, peur du jugement de la société et des pairs ou culture de la toute-puissance). Des voies d’amélioration, pour traiter cette problématique souvent méconnue, sont non seulement possibles, mais certainement nécessaires pour le bien de nos médecins et la qualité des soins délivrés aux patients.
Cet article présente une sélection d’études marquantes récemment publiées et qui explorent différents aspects du fonctionnement et de l’organisation de la médecine de famille dans le monde. Cette année, trois des quatre articles portent sur le fonctionnement en équipe en soins primaires. Ils démontrent l’intérêt d’une telle pratique, aussi bien sur le bien-être des professionnels que pour l’efficience du système de santé. Le dernier article souligne l’intérêt de l’adoption de comportements de santé dès l’âge de 50 ans pour réduire le risque de fragilité lié au grand âge.
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